Une adresse email à haut risque...
Nous
vous racontons une anecdote. Dans la sphère privée, il arrive parfois lors d'une première rencontre de converser sur son environnement professionnel. C'est un peu comme parler de la pluie et du beau temps |
Transformons-nous en petite souris, écoutons.
Madame Martene : J'occupe un poste de directrice financière dans une maison d'édition, et vous-même ?
Marie: Je travaille sur le web, plus exactement dans les enquêtes en ligne et l'emailing
Madame Martene : Le web, j'avoue que cela me dépasse. Vous êtes dans un univers virtuel.
Mais, si je comprends bien, vous contribuez à toutes ces publicités que l'on reçoit.
J'ai parfois plus de 30 emails publicitaires, le matin en arrivant au travail.
Marie : Je me dis en moi-même. Cette tirade sur les publicités est un grand classique. Je suis vue comme une spammeuse...
Et pour la centième fois au moins, j'explique les règles de la LCEN (Loi de Confiance dans L'Économie Numérique). Je vais finir par radoter. Que ce soit pour nos clients ou pour nous-mêmes, nous suivons strictement les règles.
J'explique que nous ne prospectons jamais sur des cibles grand public, sans accord. Pour des adresses professionnelles, le consentement n'est pas obligatoire. Mais, quand nous routons sur des "bases froides", l'offre est toujours en rapport avec la cible.
Madame Martene : Je suis d'accord avec vous, il faut respecter l'expéditeur final.Vous avez du ménage à faire dans votre secteur.
En tous les cas, j'ai un problème sur mon adresse. Nous sommes deux dans le groupe à avoir le même prénom et le même nom. Je suis arrivée la dernière.
J'ai demandé une adresse de type prenom.nom1@domaine.com, mais maintenant, je m'en mords les doigts. J'aurais du réfléchir à deux fois ou être mieux conseillée. Les gens ne font pas attention, quand j'écris manuellement mon email ou quand ils prennent mon email sur ma carte de visite.
Un grand nombre d'entre eux confond le chiffre 1 et la lettre minisucle l. Bref, c'est une catastrophe, pour eux, je deviens Madame Martenel et non Madame Martene.
Marie : C'est très intéressant ce que vous dites. Il existe effectivement des adresses à haut risque, la vôtre fait partie de cette catégorie.
Il y a aussi les coquilles de saisie, une inversion de lettres. Par exemple, notre nom de domaine est diemark, une simple inversion de lettres donne deimark. Mauvaise pioche, le domaine n'existe pas.
Conclusion - Quels enseignements pouvons-nous en tirer ?
Tout d'abord quand nous créons une adresse email, il faut l'écrire manuellement et étudier les éventuels risques de confusion.Ensuite, quand ces adresses sont routées, elles terminent en erreur, vous perdez en délivrabilité.
Il existe des solutions à mettre en place, avant tout routage, pour réduire vos taux d'erreur et augmenter votre délivrabilité. Nous sommes à votre écoute pour en discuter au : 01 43 80 03 76.
Découvrez toutes nos prestations.
Vous avez des questions sur cet article, sur l’emailing en général, des demandes spécifiques de conseil, d'audit ou un besoin d’envoi d’emails en nombre.
C’est très simple, vous avez deux solutions :
1. envoyer un email à Marie et Xavier,
2. nous joindre par téléphone au 01 43 80 03 76.
Nous aimons particulièrement, les problèmes complexes.
A très bientôt pour de nouvelles enquêtes passionnantes.
Marie et Xavier
Détectives Di&mark
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